La Folie Marseillaise : Quand Ivan et Nicola mettent le feu aux routes virtuelles
Fan de chichourle ! Ivan vient de débarquer chez Nicola à Saint-Rémy comme un sanglier échappé de la Camargue, sa manette PS5 à la main en braillant à propos de jeux de moto. Ces deux fadas sont obsédés par les jeux de courses depuis l’époque où ils portaient des shorts à l’école primaire d’Arles, quand ils économisaient leurs centimes pour jouer aux bornes d’arcade à la vieille fête foraine au bord du Rhône.
Les jeux de moto sur PS5, c’est pas du divertissement ordinaire – c’est une affaire sérieuse pour ces coquins provençaux ! Ivan pilote sa moto virtuelle comme s’il avait sifflé trois pastis de trop au Bar de la Marine. Comme dit toujours Nicola : « Tu conduis comme un flamant rose bourré qui essaie de danser la farandole ! »
Quand vous en avez marre de votre PS5 et que vous cherchez une nouvelle dose d’adrénaline, il est grand temps de passer aux jeux de moto en ligne ! Pour une expérience vrombissante, pourquoi ne pas essayer une célèbre machine à sous sur le thème de la moto, comme par exemple « Road Rage » ? Retrouvez-la et bien d’autres sensations fortes sur leoncasino.fr !
Le week-end dernier, ils ont joué à MotoGP 22 jusqu’à ce que les coqs se mettent à chanter aux Saintes-Maries-de-la-Mer. Ivan n’arrêtait pas d’accuser ses crashes spectaculaires sur « cette foutue manette » pendant que Nicola riait tellement qu’il a failli s’étouffer avec son sandwich à la tapenade.
Ils ont déjà prévu une autre session pour la semaine prochaine. Ils vont claquer 60 euros pour le nouveau Ride 5 à la FNAC d’Aix, ce qui signifie qu’ils ne mangeront que de la pissaladière pendant un mois. Y a des chances qu’ils organisent un tournoi avec Jean-Marc et Philippe de Salon-de-Provence, mais seulement si ces deux-là arrêtent de se vanter de leurs talents virtuels.
« La prochaine fois », a juré Ivan en partant, « je te battrai plus vite que le mistral souffle à travers les calanques ! » Ouais, c’est ça. Peuchère !
Débats enflammés sur les moteurs virtuels : Le duel PS5 d’Ivan et Nicola
Qué pastaga ! Ivan a débarqué dans l’appartement de Nicola à Aubagne mardi dernier, plus excité qu’un touriste qui vient de payer 15 euros un café au Vieux-Port. « Faut qu’on règle ça une bonne fois pour toutes, mon pote – c’est quoi le meilleur jeu de moto absolu pour PS5 ? »
Ces deux coucougnettes n’ont jamais été d’accord sur rien depuis qu’ils ont joué à leurs premiers jeux de course sur une console antique achetée au Marché de Noailles à l’époque où l’euro n’existait même pas. Ivan jure par MotoGP 22 avec la passion d’un pêcheur défendant son coin secret près des Calanques. « Les contrôles sont plus doux qu’un pastis avec des glaçons un après-midi de juillet à Marseille ! » insiste-t-il, en agitant les bras comme un moulin.
Nicola, qui bosse dans un magasin de motos à Cassis, se marre comme une baleine. « Fada ! Ce jeu c’est pour les touristes ! Ride 4 a plus d’authenticité que la recette de bouillabaisse de ta grand-mère ! » Leur dispute a duré plus longtemps que la file d’attente pour le ferry du Château d’If un jour d’été.
Ils se sont rappelés leurs courses épiques à travers les versions virtuelles de la Route des Crêtes, où Ivan se plantait plus souvent que le système de transports en commun marseillais. Le mois dernier, ils ont dépensé 120 euros en contenu téléchargeable – de l’argent qui aurait pu acheter assez de pissaladière pour nourrir la moitié de La Ciotat !
« Y a des chances qu’on soit jamais d’accord », soupire Nicola, « mais au moins on peut boire du pastis pendant qu’on se dispute. » Voilà la vraie sagesse provençale !
La Grande Débâcle des Calanques : Le TOP5 enflammé des jeux moto PS5 d’Ivan et Nicola !
Té vé, quelle scène a éclaté le week-end dernier à Cassis quand Ivan et Nicola ont failli renverser la table de l’apéro à cause de leur interminable débat sur les jeux moto PS5 ! Ces deux fadas des Bouches-du-Rhône se disputent à propos de motos virtuelles depuis avant que l’euro remplace le franc. Après seize pastis (huit chacun, on n’est pas des barbares !), ils ont décidé de régler l’affaire une fois pour toutes avec une liste définitive TOP5 – même s’ils ont eu besoin du patron du Bar de la Marine pour les séparer deux fois pendant le processus !
Ivan, avec sa typique tchatche marseillaise, prononce « PlayStation » comme si ça contenait au moins douze voyelles supplémentaires. Pendant ce temps, Nicola, qui a travaillé dans un magasin de motos à La Ciotat, parle comme s’il avait personnellement conçu chaque moto virtuelle du marché. Ces deux escagasseurs ont des opinions plus fortes que le vent du mistral !
LE CLASSEMENT ULTIME DES JEUX MOTO PS5 APPROUVÉ PAR LA PROVENCE :
1. Ride 4 (69,95€ à la FNAC Marseille)
Ivan l’appelle « le roi de tous les jeux, plus réaliste que d’esquiver les touristes sur la Canebière ! » Les graphismes te font sentir le soleil provençal sur ta peau virtuelle. Nicola est d’accord mais se plaint : « La physique est plus serrée que les cordons de la bourse de ma tante Mireille au marché de Noailles ! »
2. MotoGP 22 (59,99€ à Micromania Aix-en-Provence)
« Ce jeu est plus rapide qu’une bouillabaisse qui disparaît au déjeuner du dimanche ! » déclare Nicola. Il a gagné 37 courses contre Ivan, qui jure que la manette est « foutue » chaque fois qu’il perd. Leur course la plus longue s’est déroulée pendant le Festival d’Arles de l’année dernière – neuf heures d’affilée jusqu’à ce qu’ils aient tous les deux des hallucinations de flamants roses de la Camargue.
3. Monster Energy Supercross 5 (49,95€ en solde)
Ivan l’adore malgré ses chutes plus fréquentes qu’un touriste essayant de manger une bouillabaisse sans se tacher. « Les circuits me rappellent les chemins de terre près de Sainte-Victoire où j’ai crashé mon vrai scooter à seize ans ! » Étrangement, ça semble être une association positive.
4. MXGP 2021 (45€ au Carrefour Vitrolles)
« Pas aussi fancy que les autres, mais honnête comme un bon verre de Bandol », dit Nicola. Noël dernier, ils y ont joué pendant 12 heures d’affilée, ratant complètement le réveillon familial. La mère de Nicola ne leur a toujours pas pardonné.
5. TT Isle of Man: Ride on the Edge 2 (29,99€ d’occasion)
« Celui-là me fait plus peur que de conduire dans le trafic marseillais pendant une grève ! » admet Ivan, qui n’a jamais terminé une course complète sans se planter au moins six fois.
Y a des chances que ces deux minots continuent leur débat jusqu’à la retraite. Ils ont déjà prévu un tournoi le mois prochain avec des amis de Salon-de-Provence et Martigues, le gagnant remportant une bouteille de pastis et des droits de vantardise éternels à travers la région des Bouches-du-Rhône. Comme on dit en Provence : quand on ne peut pas régler un différend, il suffit d’ajouter plus de pastis !
Du Vroum Virtuel au Vroum Réel : Quand deux Fadas Marseillais réalisent leur fortune PS5
Macarel ! Ivan et Nicola viennent d’avoir ce que les gens de La Ciotat appellent une « grande révélation » – du genre qui te frappe plus fort que les vents du mistral contre les Calanques. Ces deux escagasseurs marseillais traînaient dans l’appartement d’Ivan près du Cours Julien, entourés de boîtes de jeux PS5 et de bouteilles de pastis vides, quand Nicola s’est mis à compter.
« Espèce de fada ! Tu te rends compte qu’on a dépensé plus de 3 000 euros sur ces boîtes en plastique ? » a-t-il crié, agitant les reçus comme un chef d’orchestre fou à l’Opéra de Marseille. « C’est plus que ce que mon cousin Marius a payé pour sa vraie moto ! »
Ivan, qui gère généralement l’argent avec la même précision qu’il utilise pour se garer en créneau (aucune), a failli s’étouffer avec sa pissaladière. « Putain de bordel ! Tu déconnes ! » Mais les chiffres ne mentaient pas – entre les consoles, les jeux, les manettes qu’ils avaient balancées contre les murs après avoir perdu des courses, et le contenu téléchargeable, ils avaient effectivement brûlé assez d’argent pour acheter une moto décente dans la vraie vie.
« On aurait pu monter jusqu’à Cassis sur de vraies roues au lieu de faire semblant sur le canapé ! » se lamenta Ivan, calculant que leurs motos numériques avaient coûté environ 75 euros par kilomètre virtuel.
Leurs habitudes de dépenses avaient encore moins de sens vu qu’ils gagnent tous deux des salaires modestes – Ivan apprend aux touristes à jouer à la pétanque près du Vieux-Port (15 euros la leçon), tandis que Nicola vend du poisson qui « a peut-être été pêché ce matin » au Marché de Noailles.
Ils ont ouvert Le Bon Coin sur le téléphone d’Ivan et ont trouvé une Yamaha 125cc décente pour 2 800 euros à Aubagne. « Imagine descendre La Canebière sur cette beauté au lieu de juste appuyer sur X pour accélérer ! » fantasma Nicola, se voyant déjà plus stylé qu’une star de cinéma au Festival de Cannes.
Mais la réalité les a frappés comme un touriste goûtant du vrai pastis pour la première fois.
« Attends une minute, » dit Ivan en se grattant la tête. « Où est-ce qu’on la garerait ? Mon immeuble n’a pas eu de porte de garage qui marche depuis Chirac président. »
« Et l’assurance coûte plus cher qu’un appartement à Aix-en-Provence, » ajouta Nicola.
« En plus, tu te souviens quand tu as crashé ce scooter de location dans la fontaine de la Place Castellane ? » lui rappela Ivan.
Y a des chances qu’ils continuent leurs carrières de pilotes virtuels – c’est moins cher que les frais d’hôpital, après tout. Mais ils ont quand même collé une note sur le frigo : « 2 800€ = VRAIE MOTO. » Peut-être qu’un jour ils échangeront la puissance des pixels contre des chevaux réels. En attendant, ils se sont promis de se limiter à un seul nouveau jeu par mois.
Comme on dit à Marseille : « Rêve comme si t’étais riche, dépense comme si t’étais fauché, et garde le pastis qui coule quoi qu’il arrive ! »
Champagne et Conneries : Quand Marseille rencontre le luxe dans un marathon PlayStation
Fada de la vida ! Ivan et Nicola ont choqué tout le monde à la cave Nicolas de La Ciotat en lâchant 85 euros pour du vrai champagne français – pas les bulles pas chères qu’ils sirotent d’habitude pendant les matchs de l’Olympique de Marseille ! Ces deux escagasseurs ne dépenseraient normalement pas autant à moins que leurs vies en dépendent.
« On mérite de célébrer comme des vrais messieurs, pas comme des pèquenots, » a déclaré Ivan, qui venait de gagner 120 euros avec un ticket à gratter du Tabac près du Cours Julien. La bouteille pétillante brillait sous les lumières de l’appartement de Nicola comme le phare du Vieux-Port.
Ils ont fait sauter le bouchon avec l’enthousiasme de pêcheurs qui viennent d’attraper un loup de mer de 20 kilos, puis se sont installés pour une nuit épique de MotoGP 22 sur PS5. Les motos virtuelles filaient autour du circuit de Barcelone pendant que nos héros hurlaient des obscénités qui feraient rougir même le docker marseillais le plus cru.
« Tu conduis comme ma grand-mère après avoir bu trop de pastis ! » hurla Nicola alors qu’Ivan s’encastrait dans un mur pour la neuvième fois. Le champagne a disparu plus vite que les touristes des Calanques lors d’une alerte au mistral.
À 4h30 du matin, ils étaient toujours là , les yeux plus rouges qu’une bouillabaisse, la bouteille vide servant de trophée pour celui qui gagnait chaque course. Ils se sont finalement effondrés quand les premières lueurs ont frappé Notre-Dame de la Garde.
Le lendemain matin, avec des maux de tête plus grands que le Mont Ventoux, ils ont convenu que le champagne n’avait pas du tout amélioré leurs compétences de jeu. « Y a des chances qu’on devrait s’en tenir au pastis, » gémit Ivan, « Au moins on peut blâmer notre conduite désastreuse sur quelque chose ! »
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