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Lancé en 2012 au Japon et en 2013 chez nous (en version améliorée) sur Nintendo 3DS, Bravely Default a marqué les esprits des amoureux de J-RPG par son identité visuelle forte et son système de jeu « Brave/Default » qui dynamisait le sacro-saint système des affrontements au tour par tour en leur apportant une couche de stratégie supplémentaire. Contre toute attente, l’éditeur Square Enix a décidé de porter le soft de Silicon Studio sur Nintendo Switch 2 et de le proposer au tarif de 40€ en tant que titre de lancement de la nouvelle machine hybride de Big N. Désormais baptisé Bravely Default Flying Fairy HD Remaster, le titre entend nous faire revivre la magie d’antan sous un gros lifting graphique, avec en prime quelques mini-games tirant parti de la fonction « souris » des Joy-Con. Mais la recette est-elle toujours aussi savoureuse malgré le poids des années ? La réponse dans mon vidéo-test !
Bravely Default Flying Fairy HD Remaster : Test Vidéo Switch 2
Note N-Gamz : 17/20
Proposant un lifting en haute résolution et quelques options de confort supplémentaire en plus du taux de combat aléatoire et de la vitesse des affrontements, telles que l’accélération des dialogues ou encore le Heal All, ce Bravely Default Flying Faire HD Remaster représente clairement la version ultime de ce RPG dont la magie est parvenue à rester intacte malgré les 13 années qui nous séparent de sa sortie originelle. Certes, on ne comprend pas vraiment pourquoi le taux de combat à 0% n’est plus disponible de base et on pourra pester contre le peu de nouveautés réelles hormis les deux mini-games anecdotiques que sont « Attrapage en Rythme » et « Ringabel et sa Croisière Déroutante », sans parler du côté « Chibi » des persos qui a mal vieilli mais on doit bien avouer que l’histoire, les mélodies, la durée de vie d’une cinquantaine d’heures minimum et le système Brave/Default sont toujours aussi incroyables, surtout pour un petit prix de 40€. Un indispensable de la Switch 2 si vous n’y avez jamais joué sur 3DS, tout simplement ! Dans le cas contraire, l’achat se révèle un peu dispensable, sauf si vous voulez regoûter à cette madeleine de Proust vidéoludique qui a marqué l’histoire des RPG en son temps !
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