Il y a quelques jours, nous vous racontions comment de sombres crétins sans foi ni loi avaient dérobé la seule PlayStation 4 (boulonnée à une table qui plus est) de l’hôpital Wellington de Nouvelle-Zélande. La console était réservée à l’usage des enfants atteints d’un cancer, lesquels étaient désemparés face à la perte de toutes leurs sauvegardes et, surtout, de l’un des meilleurs moyens d’évasion et d’embellissement de leur quotidien pavé d’examens terrifiants, d’opérations douloureuses et de chimiothérapies dures à vivre…
Nous vous relayions de fait le témoignage du petit Angus (photo d’en-tête), 9 ans et atteint d’une tumeur inopérable au cerveau, qui avouait avoir été littéralement dévasté lorsqu’il s’est rendu compte de la disparition de la machine, d’autant que son jeu préféré était sauvegardé dans la mémoire de la console, lui faisant perdre la maison qu’il avait mis des jours à construire dans Minecraft.
Bonne nouvelle pour Angus et les dizaines d’autres enfants qui luttent chaque jour contre la maladie dans cet établissement: de généreux donateurs, touchés par cette histoire, ont offert pas moins de… 12 PlayStation 4 et 15 jeux à l’hôpital, sans compter les 5000$ versés directement à l’institution et que le staff allouera au confort des enfants!
Tout est bien qui finit bien. Enfin non… Tout finirait bien si on attrapait les $%£#! qui ont piqué la console originelle et qu’on leur faisait $*£%’#& des ?!§*$ par les %£$*§# (PEGI +18).
Quoiqu’il en soit, c’est dans ces moments-là qu’on ressent une indicible fierté à faire partie de la communauté des gamers, loin des stéréotypes de rageux asociaux véhiculés par certains médias « de masse » dont nous tairons le nom. Bravo les amis, it’s good to be… us!
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