Littéralement sauvé de l’abandon par Deep Silver, Homefront: The Revolution, projet de feu THQ avant sa faillite et accessoirement FPS d’anticipation en monde ouvert, a décidé de venir régaler nos PlayStation 4, Xbox One et PC dès le 20 mai 2016, comme l’a confirmé l’éditeur dans un récent communiqué.
En attendant de pouvoir tâter la bête, une Closed Beta sera proposée dans un mois aux joueurs Xbox One. A noter que cette Beta ne sera accessible qu’à une poignée de gamers qui auront préalablement récupéré un code spécifique distribué lors de prochains événements. Événements qui seront bien entendus référencés sur la page officielle du jeu : https://www.homefront-game.com/age/
Deep Silver profite également de cette officialisation pour nous livrer la première bande-annonce du soft, intitulée « This is Philadelphia ». Elle nous montre ce qu’est devenue cette ville mythique des U.S.A. depuis l’occupation de l’APC, mais surtout la fameuse « Zone Jaune » dans laquelle se déroulera l’action de Homefront : The Revolution.
On vous envoie tout de suite le trailer, et on vous explique juste en dessous les différences entres les zones créées par l’envahisseur. La Résistance a besoin de vous !
La Bande-Annonce de Homefront : The Revolution
À PROPOS DE LA « ZONE JAUNE »
Nous sommes en 2029. Après quatre années d’occupation militaire, l’Amérique est à genoux. Comme toutes ses grandes villes, Philadelphie, l’un des berceaux de l’indépendance, a été découpée selon trois types de zone :
Les Zones rouges sont des terrains vagues ravagés par la guerre, où la première révolte armée contre l’occupation de l’APC a été brutalement réprimée. Dans ces ruines inhabitées et désolées, la Résistance mène inlassablement une guérilla contre l’APC…
Les Zones vertes sont des centres de commandement hautement militarisés d’où l’APC exerce son pouvoir et son contrôle. Les célèbres monuments de Philadelphie comme l’Independence Hall ont été réquisitionnés pour accueillir les troupes d’élite de l’APC et les collaborateurs américains de haut rang. Pénétrer dans ces Zones vertes serait du suicide pour le commun des mortels, mais pas pour les intrépides combattants de la Résistance…
Et enfin, les Zones jaunes. Ce sont les quartiers de Philadelphie où la population est la plus dense, où les civils vivent constamment dans la peur. Les habitants de ces bidonvilles subsistent sous la botte d’un État policier orwellien, sont gardés sous surveillance permanente, baignés dans une propagande diffusée 24 heures sur 24 et opprimés par une présence militaire omniprésente.
Les citoyens n’ont le choix qu’entre une existence morose faite de maigres rations, de travail forcé et de conditions de vie sordides, et vendre leur âme pour le confort relatif mais néanmoins attrayant de la collaboration.
Mais même là dans la Zone jaune, la Résistance œuvre. Au nez et à la barbe de tous, se fondant dans la foule, dissimulant leurs armes jusqu’au tout dernier moment, les derniers porteurs du flambeau de la liberté ont juré de démanteler ces satanées infrastructures de l’APC, morceau par morceau.
En tant que combattant de la liberté au sein de la Résistance, vous démasquerez des planques et d’autres positions tactiques depuis lesquelles vous planifierez vos attaques ; vous perturberez la propagande de l’APC, désactiverez sa sécurité, vous l’infiltrerez pour éliminer des cibles stratégiques, vous interviendrez pour sauver des vies civiles ou pour assassiner des officiels de haut rang. Chacune de vos actions sera un pas de plus vers votre but ultime : la révolution…