La business area est un peu le paradis pour les journalistes vidéoludiques de tous horizons lors d’une convention telle que la Gamescom : rendez-vous privilégiés avec les développeurs/éditeurs, boissons gratuites, espace presse et wifi à volonté, rencontre avec les responsables presses qui nous fournissent les kits de tests, etc… C’est réellement le rendez-vous incontournable pour qui veut faire un sujet complet sur tel ou tel jeu.
Cette année encore, N-Gamz s’est vu gratifier d’une accréditation presse et a pu accéder à ce Saint des Saints du jeu vidéo. L’occasion idéale pour nous de vous parler des softs qui nous ont marqué, comme l’excellentissime Mars : Warlogs, de Spiders, une boîte française avec qui nous avons eu un très bon contact, mais aussi R.A.W., un Diablo-like made in Wizardbox et édité par Focus Home Interactive (dont le RP, Tristan Hauvette, est la première personne à avoir fait confiance à N-Gamz…et rien que pour ça, je lui voue une amitié sans faille). De même, les talentueux RP de VPCOM nous ont permis de tester en avant-première nombre de titres d’exception, de MGS Rising à PES 2013, en passant par Warface et Rift : Storm Legion.
Bref, plus que tout, le business hall est le passage obligé pour tout journaliste vidéoludique. Et mine de rien, j’ai pu découvrir qu’EA choyait littéralement les critiques du jeu vidéo avec pas moins d’un demi hall entier, le hall 5 plus précisément, transformé en véritable lounge bar dans la business area. Avec un écran et un rétro-projecteur pour diffuser des clips des futurs hits du développeur, mais également un bar extérieur, avec cuisine, et une cafèt intérieure très prisée, autant dire qu’Electronic Arts avait mis les petits plats dans les grands pour accueillir les représentants de la presse JV. Un bon point pour eux^^.
Enfin, comme le terme le précise, la business area est là… pour le business, et quoi de mieux que de concevoir un accord développeur/éditeur autour d’un bon millésime de Bordeaux ? Ne vous inquiétez pas, les organisateurs de la Gamescom ont tout prévu avec un restaurant entier dédié aux professionnels, mais aussi un mini salon de massage. Il faut dire que quasiment chaque éditeur ayant un stand public dans la convention avait également un pied-à-terre dans la business area, ce qui vous laisse entrevoir le nombre de jeux à scruter dans un espace si réduit. Autant dire qu’on aurait aimé vous faire plein de sujets en plus, comme sur le Rambo de Reef Entertainement ou le Total Recall de ZQ Online, mais cela est une autre histoire, qui sera contée une autre fois^^. (les fans de l’histoire sans fin me suivent sur ce coup XD)