Sans doute la pire idée jamais imaginée par Phil Spencer pour couler la marque Xbox qu’il dirige comme un imbécile mythomane depuis plus de dix ans, le Xbox Game Pass a crû que les gamers allaient consommer du jeu vidéo comme on consomme des séries Netflix mais les chiffres n’ont eu de cesse d’être loin des prévisions voulues par Microsoft, comme le révélait encore ce cher Philou devant la FTC pour supplier qu’on lui accorde son rachat d’Activision Blizzard à 69 milliards de dollars.
De fait, de nombreux analystes estiment que ce type de service ne représente ABSOLUMENT PAS le futur du jeu vidéo pourtant vendu à grands coups d’enfumage et de fausses promesses (du style toutes les exclus en Day One alors qu’il les a ensuite retirées du GP Standard) par Mister Spencer. L’un de ces analystes bien connus du milieu et ultra fiable, j’ai nommé Mat Piscatella, qui nous déclare carrément sur Blue Sky que :
« Aux États-Unis, les dépenses d’abonnement aux jeux vidéo sont restées quasiment stables pendant des années après la croissance de 2020-21, avec une hausse de seulement 12 % au quatrième trimestre grâce au passage de Call of Duty dans le Game Pass. Les abonnements ne sont certainement pas l’avenir du jeu vidéo (même s’ils peuvent continuer à en faire partie).«
Voilà qui a au moins le mérite d’être clair et qui prouve que c’est bien le Xbox Game Pass qui oblige aujourd’hui Xbox à sortir ses exclus First Party chez la concurrence !

















