Après ‘Deponia’ et ’Chaos on Deponia’, Daedalic Entertainment, le célèbre studio allemand à l’origine de jeux d’exception comme Memoria ou Les Chaînes de Satinav (testés sur votre site bien aimé), nous sort le cheap viagra in uk dernier épisode de l’un de ses meilleurs point & click ! Bienvenue donc dans cette preview de Goodbye Deponia qui, comme son nom l’indique, fait à nouveau peser sur la célèbre planète-mère de Rufus une terrible menace. Notre héros parviendra-t-il à empêcher le cataclysme ?
Le premier opus de cette trilogie point & click étant sorti depuis un moment déjà, il est de bon ton de se remémorer l’histoire. Deponia est une planète « poubelle », remplie de déchets que les « gens du haut » jettent sans se douter qu’il y a quelqu’un en-dessous. Rufus, notre héros idiot et égoïste, ne veut qu’une chose : quitter ce monde où il a toujours vécu et rejoindre Elysium, la cité idyllique qui se trouve au-dessus des nuages. Le tout lui permettrait également de fuir sa copine, qu’il déteste par-dessus tout : Toni. Suite à sa maladresse pour atteindre un vaisseau appartenant à Organon, l’organisation voulant détruire son astre natal, il va faire la rencontre de la jolie élysienne Goal, fiancée de l’Inspecteur Cletus, lui-même sosie de notre personnage (c’est bon, vous suivez toujours?). Ce dernier a pour mission de vérifier que le monde du bas est bien inhabité, mais c’est sans compter sur l’énigmatique Ulysse, qui cherche à influencer le jugement de l’Inspecteur dans le seul but d’exploser Deponia. Dans ce troisième et ultime épisode, Rufus, aidé de Goal, va tout faire pour prendre la place de Cletus afin d’éviter l’annihilation de sa planète.
Le jeu commence directement après la fin du second épisode et est aussi long que ses prédécesseurs. L’humour omniprésent est toujours d’actualité et on ne se lasse pas des blagues à deux francs cinquante que sort sans arrêt notre cher « héros malgré lui ». Les énigmes semblent plus simples que dans ‘Chaos on Deponia’ mais restent toujours aussi étranges qu’amusantes. Vous ferez d’anciennes et de nouvelles rencontres telles que la secte de la laverie (culte).
Graphiquement, Goodbye Deponia jouit du même moteur que ses aînés. C’est donc toujours aussi coloré et agréable à regarder, avec une 2D maîtrisée. Les doubleurs n’ont pas changé et offrent de fait des prestations excellentes, drôles et crédibles, ce qui donne l’envie d’écouter chaque réplique. Le barde est toujours de la partie avec sa musique entraînante vous résumant la situation antérieure histoire de ne jamais perdre le fil. L’inventaire est réactif et ergonomique, et son ouverture est paramétrable (touche I, molette, clic en haut à droit). Bref, on nage en terrain connu.
Sans réelles nouveautés particulières, Goodbye Deponia met donc fin à une histoire prenante et attendrissante tout en gardant sa gaieté significative. Apprêtez-vous à sourire et rire plus d’une fois, surtout que Rufus a conservé son sempiternel don pour gâcher tout ce qui est intelligemment prévu, et que cette fois il faudra gérer, en plus, deux de ses clones ! Alors oui, c’est un au revoir à Deponia, mais rassurez-vous : Daedalic va encore nous apporter d’autres perles rares en matière de point & click, on peut vous l’assurer. En attendant, si vous êtes amateur du genre, n’hésitez pas à vous ruer sur le soft dès sa sortie, prévue le 15 octobre prochain via steam (précommandez-le, vous recevrez le second opus en cadeau et 10% de réduction ! http://deponia.de/)